Maubuisson mix

 
Maudits
Mots dits
sur Maubuisson
Source de mes maux buissons
tel un fouillis naturel en opposition
A Maubuisson
Et ses faux buissons
Qui prennent position
Dans ce texte sorte de mémo Maubuisson
Mes maux-buisson, Loïck Batardot

 

"PROFS. - Voilà le programme de la journée, on vous laisse faire connaissance avec vos groupes, puis on va se séparer pour poursuivre la visite. (Le groupe commence à se disperser.)
CAMILLE. - Marine ! Tu es dans quelle partie de visite ?
MARINE. - B, et toi ?
CAMILLE. - A, je crois qu'on est maudites..."
Surprise à Maubuisson, Marine Bourdon



 


"Ici les messes se faisaient basse pour ne pas troubler la quiétude du sous-bois"
Maubuisson, un vent bruissant, Lucigaël Vaiti



 
 



Terre sauvage, inhospitalière dira-on, à qui d'un œil cherche en vain l'ordre, pris d’une soif de désir régulier.
Et l'œil amusé, aguerri, de l'artiste, prend ici part au spectacle du promeneur vain. Du passant, supposé reposé qui n'est plus.
Seul méritant du repos désiré, celui qui auparavant finit par exploiter sa curiosité et sa soif de savoir. Il sait ; l'univers l'accueille en son sein ; il naît. Esprit neuf, désorienté dans un monde qu'il ne s'explique pas.

Une naissance, car tout ce qui a été appris se doit d'être revu, à nouveau questionné. Tout entier, le parc redevient votre lieu d'existence, dans lequel il vous faut vous placer, de biais, pour à nouveau le comprendre. Pouvoir s'apprivoiser aux choses, en saisir l'essence, le sens qui  alors semble s'être dérobé.

Ni vous ni le monde n’avez pourtant changé.

L’abbaye toute entière répond à cette contradiction, la plaisanterie d’un projet moderne qui, par torsion de l’esprit, décide de faire d’un lieu autrefois le plus clos possible, un espace ouvert. Une farce, une raillerie.

C’est lorsque l’on cherche repos, que presque par inadvertance, nous croisons la route, comme par accident, d’une forme étrangère, superposition de formes rougeâtres ; dans quel but? A quoi bon?

Mais trop court instant de réappropriation de son cerveau. Le promeneur régulier, connaisseur, blasé, oublie même l’objet. Automatique mécanique humaine, il s’assoie sans plus réfléchir sur une sculpture maintenant reconnue, encore difficile à nommer, mais définie: "cela" est fait pour s’asseoir.

Un mépris légitime de la réflexion me dira-on: avons-nous jamais fait un parc pour y réfléchir?

En terme de réflexion, reste le plan explicatif du parc de Maubuisson, utile comme un guide de construction d’un meuble : vide de sens ; laissant l’homme perplexe face à un inconnu de formes pourtant riches.

Ici, tout nécessite de se tordre au monde, de s’y corrompre à son profit au milieu d’absurdités portant des noms illégitimes ; pourtant plaisantes.
Clément Bascou



"... ces fines gouttes de pluie qui nous gelaient les cils donnaient de la beauté à nos esquisses"
Maubuisson, le grand frisson, Charleyne Stern 



"respirer la fraîcheur et la redessiner"
Ô Maubuisson, Pauline Dumont



"Je continue ma visite dans le parc démesuré. Je nage dans un océan verdoyant, les oiseaux faisant office de poissons. Je cours sur les sentiers. Je saute sur les collines. Je vole sur l’herbe menue. Je m’enfuie du monde qui ne rêve plus. Je frôle cette fraiche nature ; et d’’un pas fluide et frileux, je fend les prairies jusqu’au lac de Narcisse, le miroir d’eau. Mais seuls les arbres s’y reflètent, l’Homme n’y a pas sa place. Je décide donc de laisser respirer cette nature et je m’en vais à l’exposition."
Le Mau(buisson) fané, Céleste Fritz
 
 


"On y rentre comme dans un terrier de lapin. J'ai suivi le lapin de Lewis Carroll"
Perdu dans une buisson, Camille Druais Métivier

 
 
 
 
 
 
Il y a cette entrée qui ne te laisse pas entrevoir ce que tu découvriras quelques minutes après avoir longé la grange. La grange a l’air paisible, comme si elle se reposait elle-même et indiquait la route. Bien envie de parcourir ce site, car ces endroits se ressemblent tous mais gardent toujours quelque chose d’unique, comme un esprit, une âme. Il te suffit de tourner à droite en passant sur un petit pont coupant un des canaux du site, et là, tu te retrouves face à un vaste parc dont tu ne vois pas clairement les limites. Pas de limite, c’est sûrement ça qui apaise. Toutes les limites sont frustrantes, et le frustrant c’est crispant. Mais là non, tu vois le calme en plus de le sentir. Beaucoup de personnes passent, ce n’est pas ce à quoi on s’attend. Des enfants, des coureurs, des travailleurs, des promeneurs. Tout ça sans perturber ce calme. Maubuisson est alors aussi un lieu de passage. Ces passants apparaissent par des escaliers puis disparaissent dans un virage habillé par une multitude d’arbres, ou inversement. Et oui, tout ça sans perturber le calme. Arbres flottants, espaces découverts et bien verts, petit ponts boisés, rondins de bois attrayants, miroirs d’eau éblouissants, escaliers dirigeants, bancs rouges, terrain d’un sport particulier. Le doux soleil vient redonner cette touche de paix. En allant par la droite, tu te retrouves vite longeant l’abbaye. Il faudra monter un escalier passant au dessus d’un canal pour se trouver face à l’entrée de celle-ci, oh et un drapeau blanc flotte, oui il indique un lieu d’art contemporain. Chance de tomber sur cette exposition décalée. Dès l’entrée de longues planches en bois mises de toutes les manières sauf droit pour tenir la structure de la cabane nous toise.  Tu t’imagines de grandes jambes se baladant. Et puis, vite, rentré à l’intérieur, cette cabane semble être une plante rampante au plafond qui se propage dans tout ce qu’il reste de l’abbaye en passant d’une pièce à l’autre, on s’imagine même la voir apparaitre alors qu’en réalité tout est déjà là. Les voûtes semblent être des arbres enlaçant cette immense cabane aux allures chaotiques et fragiles. La pierre et le bois se quittent pour mieux se retrouver. Envie d’y monter. Mais si l’entrée ne t’est pas indiquée alors sache qu’elle ne sera pas facile à trouver. Une fois dedans, angles, étroitesse, difficulté, chaleur et surtout émerveillement. Enfant, enfin.
Maubuisson mix, Mélanie Loren de Moura

 

 

 

 
 
"Prendre conscience de son corps de manière brutale"
L'expérience Maubuisson, Enora Gourlaouen
 
 
 
 
 
Nous venons de pénétrer dans l’enceinte de l’Abbaye, où se trouve le fameux « Buisson Maudit » des frères Chapuisat. D’emblée, le long corps en bois nous frappe. Nous peinons à suivre du regard la structure en serpent tellement celle-ci se mêle et s’entremêle entre les colonnes de l’Abbaye cistercienne, créant  un contraste entre la pierre lisse et froide et le corps rugueux et chaud de la bête.
En cherchant plus minutieusement, nous décelons une entrée entre les planches et décidons de nous aventurer à l’intérieur. Malgré son aspect étroit et sombre, nous ne rebroussons pas chemin, nous doutant que l’entrée se veut volontairement rebutante.
Les premiers mètres sont ardus. Nous avançons lentement, faute de lumière. De plus, l’espace est trop exigu pour déployer nos membres comme bon nous semble. Bien que la zone manque de luminosité, nous comprenons que nous nous éloignons du sol de l’Abbaye au fil de notre avancée.
Après plusieurs minutes de montée, nous apercevons un large rayon de lumière provenant du plafond. En levant la tête, nous remarquons une ouverture triangulaire, pas plus large qu’un homme adulte. 
Une fois l’ouverture passée, nous n’en croyons pas nos yeux. La lumière provenait d’une véritable pièce à vivre. De forme conique, elle n’est accessible  que par un puits en bois situé en son centre. En parcourant les murs, nous trouvons un second passage qui replonge dans l’ombre.
La reprise de la marche dans l’obscurité est difficile. Le sol est irrégulier, le plafond de plus en plus bas. Nous nous retrouvons parfois face à des voies sans issues, multipliant les contorsions pour faire demi-tour.
Surnommé par l’artiste lui-même « la Piste Noire », le passage du Hall est sans aucun doute le plus laborieux. A peine à l’intérieur du boyau, une chaleur étouffante nous enveloppe. Le plafond est trop bas pour s’accroupir et les parois sont trop proches pour rester allongé. Rampant sur le côté, nos chevilles et nos poignets sont les seuls à permettre notre avancée.
Le Hall passé, le boyau s’élargit soudain, tandis que le sol devient pentu.  Tête en avant, je dérape, glisse, me heurte à plusieurs reprises,  m’accroche parfois à quelques prises qui passent mais les lâche après seulement quelques secondes en  poursuivant ma chute. Soudain celle-ci se stoppe nette. Parcourue par un frisson, je me redresse et remarque que j’étais sur le carrelage de l’Abbaye.
J’étais sortie.
Maubuisson - buisson maudit, Alexia Limoges

 
"La chaleur et l'odeur boisée de notre parenthèse hors du temps"
A la découverte de Maubuisson, Camille Vermeulin
 
 
 
Tout est calme, rien ne bouge. Et pourtant au loin résonne le souffle rauque de la nuit. Tout n’est qu’ombres et ténèbres. Tout est calme, rien ne bouge.
Il est là. Immobile. La nuit l’enveloppe de son manteau majestueux. Il hésite, se questionne, s’interroge, tente de repousser l’échéance, mais il sait qu’il n’a pas le choix. La nuit est là qui lui ouvre ses bras, il n’a qu’un pas à faire, le reste suivra. Mais ce pas est si  difficile. Il ne faut pas réfléchir, et avancer. Mais rien à faire, il reste figé. La nuit semble retenir son souffle. Derrière lui  se dresse l’abbaye, telle une ombre qui pose  son regard sur le monde. Son imposante silhouette semble se découper dans le ciel. Elle veille sur lui. Mais lui ne la voit pas. Il fixe la masse d’eau sous ses pieds, obscure  et menaçante. Seuls les reflets de la lune permettent d’en  discerner les contours. Les secondes s’écoulent lentement… Les bruissements des feuilles, les battements d’ailes, les hurlements  désespérés du vent… Maubuisson sommeille. Il reste là, immobile. Les heures passent. Une goutte… Puis deux… Et finalement c’est l’averse. La pluie s’acharne contre lui mais il reste impassible. Il sait qu’il doit le faire. Il ne saurait expliquer pourquoi mais il le sait, c’est tout. Quelque chose en lui, le pousse vers le précipice. Il regarde en bas. La peur le prend au ventre, et le torture. Il sait que cette souffrance ne prendra fin qu’une fois avoir avancé dans le vide. Il attend. La peur s’est désormais emparée de tout son corps. Il tremble. La pluie c’est arrêtée sans qu’il s’en rende compte. Il sent que le moment approche… Plus rien ne peut désormais l’arrêter. Sa décision est prise. Il prend une grande respiration et avance droit devant lui. Son corps tombe dans le vide…
Mais aucun bruit de chute. Au contraire, ses petites  ailes déployées  battent à tout rompre. Il s’envole au loin, quittant le nid pour la première fois.
Maubuisson dans le pénombre, Gaëlle Blanchard
 

"Who is it that can tell me who I am?"
King lear, Shakespeare, Act IV, Scene 1






Welcome to English class!

It is highly recommended to read  'Othello', a tragedy written by William Shakespeare in 1603. (you may read it in English or in French). 
Several scenes will be studied in English and French classes before we all go and see the play 'Les amours vulnérables de Desdémone et Othello'  by Manuel Piolat-soleymat and Razerka Ben Sadia-Lavant at Le théâtre des Amandiers.
Enjoy!


O, beware, my lord, of jealousy!
It is the green-eyed monster which doth mock
The meat it feeds on.
(3.3.189-91), Iago



Les MàNAA s'emparent d'Invasion ! de Jonas Hassen Khemiri

Après le workshop de scénographie, voici l'affiche qui a été choisie à la fois pour les Portes Ouvertes de février et pour les deux représentations finales, au lycée Camille Claudel et au Théâtre 95.
 
Adrienne Dermigny

Et voici le flyer qui a malmené bien des futurs spectateurs...
Océane By
 
Exposition dans l'atrium du théâtre...
 







 
 

25 mai : l'atelier théâtre joue Invasion ! au lycée Camille Claudel, dans une scénographie de Cécilia Lourdes Maguimey // 1er juinInvasion ! au Théâtre 95 de Cergy.

 
 
 
 Scène 1
 
Scène 2 : les chercheurs
 
Scène 3
 

 Scène 5 : le cueilleur de pommes

Scène 6

 
 Scène 7 : le petit frère
 

 

 

 
 
 
 

Rencontre avec Félicie Roblin, productrice de La Gueule de l'Emploi, documentaire de Didier Cros

 
 
"Plus qu'une réelle leçon ou une dénonciation des méthodes utilisées par les organismes de recrutement, ce documentaire nous donne à réfléchir sur ce que pourrait être la société idéale, car entre humain et profit, on lutte pour trouver sa place. Il ne s'agit pas ici de condamner, mais de montrer ce qui dérange, en nous proposant un exemple et non une exception, de ce qui est à la fois
la colonne vertébrale et la principale épine de notre société."
 
Anaëlle Carpentier
 
Article de Julie Villeneuve 
« La guerre de l’emploi » de Didier Cross est un documentaire, qui, en plus de présenter un entretien d’embauche interminable, témoigne d’une animalisation de l’Homme.

Tout au long de ces 90 minutes on assiste aux premières loges à un spectacle offert par les recruteurs ; à humilier, rabaisser et casser les personnes venues passer cet « entretien ».

La méthode employée afin de tester les participants est plus que choquante.

Peu à peu ce jeu fait place à la rage. Un froid s’installe entre tous. On assiste à une bataille sans merci où même des grandes figures telles que Napoléon et Victor Hugo se déchirent le pouvoir. Le vainqueur sera celui qui écrasera  l’autre sous les yeux amusés des jurys.

Le documentaire n’offre absolument pas une vision idyllique de l’emploi. Non, il nous expose une réalité aussi vicieuse qu’elle puisse être, une véritable loi de la jungle où seul le plus fort remportera la victoire.

Et quelle victoire ? Un salaire moyen et pas à la hauteur d’un tel entretien, qui, de plus reste inconnu tout au long des 60 premières minutes alors que la bataille, elle, est déjà engagée.
 

Océane BY
Critique et journaliste du magazine « Une société en éclat »
 
Félicie Roblin,
Zadig productions
"né avec le millénaire et produit, depuis 10 ans maintenant des documentaires d’auteurs,
porteurs d’une écriture forte"
 
 
 
Un véritable « coup de gueule » ! 
C’est en suivant Didier Cros derrière sa caméra, que l’on découvre avec stupeur l’univers des cabinets de recrutement. Des candidats prêts à tout pour trouver un emploi, une autorité abusive de la part des recruteurs et un monde qui tourne d’une drôle de façon.
Ce n’est plus un simple entretien mais, une série de test tous aussi déstabilisants les uns que les autres qui vont départager les candidats. On pourrait adhérer facilement à ce principe de recrutement, où le C.V n’apparait que dans un dernier entretien personnel et où l’improvisation et la répartie sont les mots- clés. Hélas… C’est sans compter sur la sélection progressive qui nous rappelle l’esprit de téléréalité et où le mot humiliation nous vient sans cesse. Certains principes choquent et déplaisent !
Les candidats ne sont pas informés du poste pour lequel ils se battent, ils sont soumis à une autorité qui les réduit à un statut d’écolier et se donnent en spectacle comme des animaux s’entretuant, pour le plus grand plaisir des recruteurs. Ces derniers ne comprennent pas que l’on puisse abandonner lorsque l’enjeu est tel… Mais faut-il être prêt à tout sous prétexte que l’on est au chômage ?! Se battre autant, aussi longtemps pour au final un salaire bas… Ne faut-il pas préférer la dignité ?
 
Marion CHAMPAGNE,
 « Les cris du chômage »
 
 
 
« La gueule de l’emploi ». Encore un reportage sur le racisme dans le milieu de l’entreprise ?  Même pas. Dans ce documentaire de Didier Cros, personne n’est exclu ; personne n’est à l’abri.
                Laissant de côté une objectivité trop impersonnelle, le réalisateur prend le parti de nous faire vivre une session de recrutement aux côtés d’éventuels candidats, en nous faisant partager leurs expériences et leurs sentiments. Un résultat alarmant, diront certains ? Non, juste la réalité d’un marché du travail de plus en plus exigeant, où l’humain doit céder la place au profit.
                Recrutement collectif, exercices d’improvisation, mises en scène : une technique originale aux yeux des non-initiés, mais le quotidien de ces recruteurs. A la limite de l’infantilisation, de l’humiliation même selon certains candidats ; peu de postulants retenus pour un salaire dérisoire : choquant ? Et pourtant ceci est monnaie courante ; sur un marché du travail en crise, entre farce et tragédie, toutes les conditions deviennent acceptables pour continuer à vivre.
 
Emeline Jenger
 
 
POH-L'EMPLOI
Vidéo (à venir) de Camille Caillet, Marine Dos Santos, Noémie Eyoum,
Juliette Goulam, Virginie Midoux, Chloé Raguin et Anastazja Szuba

Spectateurs de Plage Ultime, aux Amandiers...




     Notre ultime spectacle aux Amandiers,
     Plage Ultime, mise en scène de Séverine Chavrier.
 
La réalité nous percute de plein fouet. Seul au fond de la scène, un homme décrit ce qu'était la vie "... Avant, on avait des balcons et il n'y avait pas de filets, alors oui je suis nostalgique". Des rires retentissent dans le public, mais on sait bien que c'est de l'ordre du drame. Le consommateur somnambule s'est fait bouffer par la technologie. Alors il déprime.
 

L'homme trop pressé ne prend pas le temps d'apprécier la vie, il se donne de la valeur à travers les objets qu'il consomme. Il consume la vie dont il surestime la longévité.

 

 

L'adolescent joue du piano dans la brume, récitant sur le bout des doigts les leçons à son père qui le harcèle. "Ce n'est plus l'adulte qui était seul avec l'enfant mais l'enfant qui était seul avec l'adulte."

Faut-il aimer travailler ou travailler à aimer?

On apprend l'Histoire, on s'attache faussement à l'origine des choses sans en tirer de leçon. Et l'on s'abandonne à la performance, en délaissant les rapports humains.

 

 

De temps à autre, un acteur s'empare d'une caméra. Il filme au plus près ce qui se passe autour de lui. Les images sont retrancrites en direct sur l'écran, ce qui crée un double niveau de lecture. On se sent d'autant plus concerné par ce qu'il se passe sur scène.
Camille Orlandini

Spectateurs de la Nuit des Rois, aux Amandiers






Le spectateur est très impliqué dans le spectacle : il frémit, il rit (souvent), il est ému...
Une ambiance d'euphorie dans le public.
 
 
Vue d'ensemble de la scène, exposition (Juliette, Anastazja, Chloé, Marine)

Un décor métonymique :
avec peu de choses, ils peuvent construire toute une pièce.







Matérialiser l'espace de la tempête, des vagues, de l'eau, les chaises sont éparpillées dans la salle, pour représenter les secousses...



Lumière et son (Jacques, Noémie, Virginie, Camille)

Un spectacle vif, avec du mouvement, des transitions en musiques, visibles.


Le spectacle vise l'émotion car il traite de sujets sensibles tels que l'amour égalitaire
entre homme et femme...
 
 
... ou encore le comique grâce à des situations de farce et de fête.
 





















Mise en scène globale, public (Angela, Iris, Océane, Cassandre)



 
"Mais, n'importe, la pièce est finie,
Et nous tâcherons de vous plaire tous les jours."
 (Fin du cinquième et dernier acte)